Osez Être Pleinement Vivant–Mais comment ?

Si vous avez déjà vu les deux premiers articles/vidéos de cette série sur l’art d’Être Pleinement Vivant, vous vous demandez peut-être maintenant comment c’est possible pour vous d’Être plus vivant jour après jour ?

Et c’est normal que vous vous posiez cette question, car si vous observez autour de vous, vous constaterez qu’une bonne partie des gens vivent plus ou moins dans cet état “mort-vivant” la plupart du temps.

Où sont donc ces personnes inspirantes et vivantes, qui rayonnent la joie de vivre au quotidien, et qui embellissent la Vie de ceux qu’elles côtoient ?

J’aborderai les réponses à ces questions dans un prochain article, mais pour l’instant, je vous propose de

simplement d’oser, d’osez expérimenter un processus simple et de constater par vous-même les effets qui se produisent, vous verrez alors si vous vous sentez ou non devenir de plus en plus vivant !

Car dans toute cette démarche sur l’art d’Être Pleinement Vivant, ce qui est ou semble le plus difficile et probablement d’oser. Vous avez déjà une réponse à la question de savoir pourquoi si peu de gens semblent si peu vivants, car une des raisons et que si peu de gens osent.

Pourtant rien ne se fera sans commencer et dons sans oser faire le premier pas. Et c’est aussi le début de la réponse à la question comment être de plus en plus vivant : en osant !

Le bonheur est à votre portée. Et s’il suffisait d’Oser ?

Si vous avez déjà expérimenté le processus de la seconde vidéo de cette série, vous avez peut-être déjà commencé à noter des améliorations dans votre niveau de bien-être.

Le processus d’aujourd’hui s’appelle le “processus de la double-permission” et il va vous permettre d’aller beaucoup plus loin. Il s’appuie sur le processus précédent, c’est-à-dire que vous devez être capable d’identifier dans votre propre expérience les moments où vous vous sentez coupés du vivant et les moments où vous vous sentez vraiment vivants.

Je vous laisse le découvrir dans la vidéo ci-dessous :

Quelques précisions sur ces 3 étapes du processus :

• La permission d’acceptation. Elle est indispensable pour ne pas ajouter de résistance à l’état “non-vivant” ou “Mort-Vivant” comme je l’appelle, que vous êtes en train d’éprouver. Ainsi, pour sortir d’un état “non-vivant”, la première chose à faire, après avoir constaté que vous êtes coupés de la Vie que vous êtes, c’est d’accepter que cet état soit là en cet instant et d’accueillir le ressenti de cet état. En vous donnant la permission de vivre cet état au lieu de le subir, sa transmutation peut alors commencer.
  Cette étape est parfois délicate mérite que j’y consacrerai d’autres articles pour approfondir ce sujet. Pour l’instant et pour vous aider à accepter cet état “Mort-Vivant”, rappelez-vous que ce que vous voulez vraiment, ce n’est pas ne plus Être dans un état non-vivant, mais Être plus Vivant. Prenez le comme un indicateur en constatant que cet état vous signale que vous n’être pas en train d’aller vers là où vous voulez.
  Pour installer cette permission, vous pouvez utiliser une formule de la forme “C’est OK de ressentir <votre état>”.
  Par exemple, si vous ressentez un état de crispation, alors vous pourriez utiliser une formule comme dîtes-vous “C’est OK de ressentir cette frustration”. Et si c’est un état plus “mental”, par exemple de la rumination de pensées, alors dites-vous “C’est OK d’avoir ces pensées de rumination”.

• La Permission d’évolution. C’est le moment de vous permettre de donner une nouvelle réponse, une réponse plus vivante, plus inspirante. Rappelez-vous de ce qui est vraiment important pour vous, de qui vous voulez vraiment Être, de ce que serait d’Être plus vivant en ce moment. Et autorisez-vous, par votre simple intention créatrice et libératrice à exprimer cette qualité qui vous rend plus vivant.
  Par exemple, vous pourriez-vous dire “Je me donne la permission de me détendre”.
  Notez bien que comme pour la permission d’acceptation, la permission d’évolution est toujours par rapport à l’état auquel vous aspirez.

• L’action immédiate. Remarquez que l’étape “Osez”’est cachée dans la troisième étape. Il s’agit de poser une action inspirée et immédiatement réalisable à partir de votre élan à Être plus Vivant et de la permission d’évolution que vous venez de vous donner.votre permission, c’est ce que j’appelle l’action immédiate.
  Osez faire un mouvement pour plus de Vie, osez une nouvelle action plus inspirée, osez apporter une nouvelle réponse à cette situation et surtout à l’état que vous vivez. Osez Être en cet instant un peu plus Vous-même, vraiment vous-même, et montrez-le par vos pensées, paroles ou actions.
  Quel serait le pas que vous pouvez effectuer pour aller vers cet état plus vivant ?
  Ainsi, vis vous vous êtes donné la permission de vous détendre par exemple, alors relâchez votre corps et respirez lentement. Ou ajoutez un sourire à votre visage.
  Souvent, les actions les plus aisées à réaliser concernent votre corps ou la focalisation de votre attention.

Ce processus est circulaire, c’est à dire que vous pouvez l’appliquer en boucle pour gagner à chaque fois quelques degrés dans la direction d’être plus vivant.

Comme je le recommande, si vous l’appliquez plusieurs fois par jour sur une période de quelques semaines seulement, vous allez noter une amélioration de votre niveau de bonheur et d’être de plus en plus vivant. Pour cela, prenez la précaution de noter chaque jour ce niveau et vous verrez votre “moyenne” augmenter à votre rythme et selon votre ardeur à appliquer de votre mieux ce processus de la double-permission.

Je vous laisse pour aujourd’hui, appliquer ce processus à votre convenance et laissez-moi ci-dessous le résultat de vos expérimentations ou vos questions si vous en avez. Ce site est un espace de dialogue et je répondrai de mon mieux.

J’ai confiance qu’avec ce processus, vous allez déjà pouvoir faire des pas pour vous révéler et vous épanouir. Et je vous retrouve très bientôt dans un prochain article pour approfondir et compléter cet art d’Être Pleinement Vivant.

Je vous souhaite le meilleur dans votre Vie, à très vite, Marc.